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Mia Barlow
Mia Barlow
Date d'inscription : 30/04/2024
Messages : 20

Mia Barlow
Feat : Ana de Armas

Nom : Barlow
Prénom : Mia
Âge : 35 ans
Date de naissance : 30 juin 1988
Lieu de naissance : Jacksonville
Nationalité : Américaine
Origines : Cubaine/Américaine

Statut Civil : Célibataire, mais elle a été mariée par le passé
Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle
Genre : Femme

Emploi : Institutrice
Famille : Elle n’a pas d’enfants mais c’est son vœu le plus cher
Statut Financier : Correct
Organisation : //

Groupe : Trèfle
Crédits : Chubby

Caractère

Douce - Attentionnée - Altruiste - Secrète - Méfiante - Naïve parfois - Peureuse de son passé - Sans attache (du moins elle essaie) - Tactile - Avenante - Créative - Douée avec les enfants -

Histoire

tw : sexe / meurtres / violence
Née en 1988 en Floride, j’ai tout de suite su apprécier la chaleur du soleil et de la mer. Mes parents sont des personnes lambda. Ma mère est musicienne et mon père est cuisinier. J’ai eu une enfance très heureuse et comblée. J’étais fille unique mais mes parents ont eu du mal à m’avoir donc je m’estime chanceuse d’être là et en vie… du moins pour l’instant.

Ah oui, à ma naissance, je m’appelais Audrey, Audrey Nightwood.

Jusqu’à la période du lycée, il n’y a pas grand-chose à raconter. J’avais une vie normale, une enfance normale avec des gouters d’anniversaires, des soirées entre les voisins du quartier, les fêtes annuelles de la ville et les organisations normales de mes écoles. Rien d’extraordinaire. Je voulais devenir fleuriste parce que la nature était quelque chose que j’adorais et même si certains de mon école trouvait ce métier nul ou sans ambition, j’étais contente de mon sort. Je voulais une fac près de chez mes parents, histoire d’avoir un diplôme comme dirait papa et ensuite la seule ambition que j’avais serait d’avoir ma propre boutique.

Et puis durant ma dernière année de lycée, j’ai fait une rencontre, la rencontre. Celle qui changea ma vie à tout jamais. Il était plus vieux que moi et le lycée cela faisait un moment qu’il n’y avait pas mis les pieds. Par contre, il venait souvent dans le restaurant où mon père travaillait. Et comme j’avais pris l’habitude de m’y rendre aussi pour passer le temps, flâner ou étudier. Je l’ai croisé à plusieurs reprises.
Au départ, ce n’était que des regards échangés, rien de bien méchant. Il venait avec sa bande de potes, fanfaronnait devant les serveuses, draguait un peu tout ce qui passait et continuer de me jeter des œillades en passant. Je rougissais souvent, voire tout le temps. Il avait ce je-ne-sais-quoi d’attractif. Le côté un peu bad boy sans doute.

La première fois qu’il est venu me parler, je me souviens avoir gloussé comme la parfaite lycéenne que j’étais avant d’aller le raconter à mes copines. Finalement c’est devenu le potin du coin entre nous, qui était de beau brun ténébreux au regard si envoutant. Et puis quand j’ai commencé à en parler à mon père, il m’a mise en garde. « Ce n’est pas un mec bien. » a-t-il dit. « Il n’est pas fait pour toi. » Et je me suis retrouvée au pied du mur. Moi qui le voyait principalement au travail de mon père, je ne pouvais pas l’accoster à ma guise ou même lui parler alors un soir alors que j’attendais près de la voiture de mon père qui finissait son ménage, je l’ai vu sortir du restaurant avec ses potes et il a lancé un regard dans ma direction. Du haut de mes dix-sept ans, je ne me suis pas démontée et j’ai replacé une mèche de mes cheveux avant de lui faire signe pour que l’on se parle. Je m’en souviens comme si c’était hier, il faisait chaud, je portais un petit débardeur blanc avec un short très court et j’avais les cheveux détachés. Lui avait un pantalon en jean très serré et un t-shirt blanc avec une veste en cuir, style perfecto. Nous nous sommes écartés sur le côté du bâtiment à l’abri des regards et je lui ai donné mon numéro de téléphone tout en me mordant la lèvre et en lui demandant de m’appeler. Le sourire qu’il avait sur les lèvres ce soir-là, il était à tomber par terre… Et moi j’étais jeune et encore un brin naïve. Il a pris mon numéro, je me souviens encore de sa langue qui glisse sur ses lèvres comme s’il voulait me dévorer et alors que je voulais passer pour retourner à la voiture de mon père, il avait mis sa main contre le mur pour me barrer la route. Sur le coup, j’ai presque sursauté mais ensuite, lorsqu’il a approché son visage du mien et qu’il m’a embrassé fougueusement, je me suis totalement laissée emportée par la folie de l’instant. Son haleine  Il avait plaqué son corps contre le mien, il était musclé, protecteur et je me suis laissée entrainée. Ce n’est que parce que ses amis l’appelait qu’il s’est arrêté avant de caresser ma joue en disant d’une voix rauque. « J’ai hâte de t’appeler, bébé. »

S’en est suivi des échanges de SMS et des appels en mode discrétion parce que je savais que mon père n’était pas pour que je le fréquente. Mais flirter avec l’autorité me faisait me sentir grisée et visiblement cela lui plaisir à Tom. Parce que oui, il s’appelait Tom, ce bel Apollon qui me faisait me sentir unique en mon genre. Tom et moi, l’on se voyait en cachette et je suis tombée rapidement sous son charme. Il était motard, enfin dans un groupe de motard. Et j’adorais lorsqu’il passait me chercher au coin de la rue alors que je faisais le mur pour m’emporter sur sa moto et m’emmener loin jusqu’au bout de la nuit. Il était très tactile mais j’aimais bien sa façon de me faire comprendre qu’il aimait m’avoir près de lui. Ses mains étaient baladeuses et il me montrait combien il avait envie que l’on aille plus loin. Au début, je voulais attendre et puis en fin de compte, je me suis bien rapidement rendue compte que j’avais envie que cela soit lui le premier. Alors j’ai succombé à la tentation et je l’ai laissé prendre possession de moi…. A mon plus grand regret.

Les semaines ont passés ainsi que les mois et j’ai commencé à vouloir davantage voir Tom plutôt que d’aller en cours. Pourtant c’était ma dernière année, la plus importante. Mes parents étaient furieux parce que je séchais les cours, parce que j’étais devenue rebelle, parfois insolente. Mais tout ce qui comptait à mes yeux c’était Tom et rien d’autres. J’ai même commencé à me mettre mes amies à dos pour aller le voir. Elles ne voulaient plus me couvrir. Les professeurs ne me faisaient plus confiance. Mes parents m’interdisaient de sortir pour x ou y raison mais je faisais le mur dès que j’en avais la possibilité.

Et puis un soir, alors que j’avais pris une fois de plus la poudre d’escampette pour rejoindre mon bel Apollon, celui-ci m’annonça qu’il devait partir en direction de Miami. Son groupe avait des ennuis et ils devaient quittés la ville… « Viens avec moi bébé, on s’en fou de tes darons, moi je peux te rendre heureuse. » Le sourire sur les lèvres, j’ai dit oui. J’étais prête à le suivre jusqu’au bout du monde. Alors qu’il faisait l’amour pour fêter notre décision de partir ensemble avec le groupe de motard, mon père a débarqué. Il était plus furieux que jamais, il pointa même son fusil sur Tom. Tom fit l’innocent et je me suis interposée entre eux. Et puis avant que je m’en rende compte, Tom s’est levé, il a posé une main sur mon épaule et il m’a dit de m’éloigner qu’il voulait parler avec mon père. Au début je n’ai pas vraiment compris mais je pensais qu’il voulait tenter de le convaincre alors je me suis rhabillée et je suis partie, enfin je me suis éloignée pour les laisser seuls. Quand je suis revenue, plusieurs minutes plus tard, mon père n’était plus là. J’ai demandé des explications à Tom mais sa seule réponse a été  « Ils ont dit oui pour que tu viennes avec moi. Tu pourras reprendre le lycée à Miami et tu pourras aller à la fac là-bas… Tes parents sont d’accord. »  La surprise était de taille mais j’étais tellement heureuse que je n’ai pas cherché à comprendre et je lui ai sauté au cou en l’embrassant et en le me frottant à lui pour continuer ce que l’on avait commencé un peu plus tôt.

Le lendemain, je suis allée chez moi pour prendre mes affaires et pour dire au revoir à mes parents. Mais à la place, j’ai trouvé une lettre. Ils étaient d’accord que j’aille avec Tom et ils me rejoindraient à Miami bientôt. J’étais aux anges. J’allais pouvoir être avec l’homme que j’aimais et en plus mes parents étaient d’accord. Ce que j’ignorais alors c’est que le sol de la cave avait été cassé pour y cacher les corps de mes parents assassinés et qu’une nouvelle dalle de béton était encore fraîche. Tom m’avait assuré que tout été arrangé avec le lycée et que donc je n’avais pas à m’en faire. Il m’emporta avec lui et son groupe et je ne suis jamais revenu à Jacksonville.

Cependant nous ne sommes pas allés vers Miami. Non à la place, l’on a pris la route  pour quitter l’Etat. L’on a traversé la Géorgie, l’Alabama et le Mississippi pour arriver jusqu’à la Louisiane et plus précisément la Nouvelle-Orléans. Là-bas, l’on s’est installé mais je n’avais pas vraiment l’envie de retourner au lycée. Alors à la place, j’ai trouvé un job de fleuriste comme je voulais et Tom lui avait ses affaires avec son groupe. Je savais que tout n’était pas hyper légal mais je m’en foutais. J’envoyais des cartes à mes parents mais je n’avais pas nouvelles. Et puis le temps a passé sans que je n’aie de nouvelles d’eux. Cela me faisait mal mais Tom était là et j’étais la plus heureuse qui soit à ses côtés.

Et puis le soir de mon 21ème anniversaire, alors que j’avais en tête de retourner les voir pour parler avec eux, Tom m’a arrêté dans mon élan en prétextant que ça ne servait à rien. Sur l’instant, je ne comprenais pas et puis assises sur le banc de la gare routière, Tom m’expliqua « Ils ne voulaient plus de toi… J’avais pas le cœur de te le dire bébé mais… ils m’ont proposé de l’argent pour que je m’occupe de toi… » Les larmes et la douleur qui m’ont alors envahis ce soir-là on finit de briser mon cœur de jeune adulte. Mes parents ne voulaient pas de moi parce que j’avais choisi l’amour plutôt que l’ambition. Et c’est là que Tom a eu une idée : « Je pense que tu devrais changer d’identité… Pour pas qu’ils te retrouvent… J’ai vu qu’ils ont dit que tu étais morte alors autant que Audrey Nightwood disparaisse comme ça personne ne pourra te retrouver. »

Ce soir-là Audrey Nightwood a disparu à tout jamais au profit d’Iris Anderson, épouse de Tom Anderson.

Nous avons installé notre petite vie à la Nouvelle-Orléans. J’étais désormais mariée à mon amour de jeunesse, mon premier amour. Tom était doux et dur à la fois. Protecteur, un brin jaloux mais tellement fougueux et sauvage que cela me plaisait. J’ai également passé mes diplômes en candidat libre pour pouvoir avancer dans la vie. Avec les années, nous avons essayé d’avoir un enfant mais je n’ai jamais réussi à être enceinte ou alors je faisais des fausses couches. Si Tom ne disait rien, je savais qu’il était frustré de ne pas devenir père. Et puis un soir alors que je fermais le magasin dans lequel je travaillais, je l’ai surpris en train de parler avec une autre femme. Il ne savait pas que je bossais ce soir-là, ce n’était pas prévu. Je l’ai alors suivi jusqu’à une ruelle ou je l’ai vu littéralement en train de la prendre contre le mur. L’image de lui, le pantalon baissé, en train de grogner de plaisir alors qu’elle lui demandait de continuer me donna des haut-le-cœur. Mais je restais silencieuse, observant le spectacle jusqu’à la fin tapie dans l’ombre. Il me trompait, j’en avais eu la preuve en direct mais j’ignorais jusqu’à quel point. Et il connaissait cette fille puisqu’elle lui a dit à bientôt en partant. Je me souviens m’être cachée dans les ordures à côté d’une benne, l’entendant soupirer avant de se rhabiller et de repartir comme si de rien n’était quelques instants après elle. Mais qui était cette fille ? Je devais en apprendre plus… J’étais enragée contre lui mais je ne pouvais pas m’en prendre à lui de façon aussi directe. Il me fallait en apprendre davantage… Et ce que j’ai découvert ne m’a pas plus.

Je me suis rapproché d’un détective privé que j’ai accompagné parfois pendant ses surveillances pour en avoir le cœur net. Et Tom voyait d’autres femmes en plus de moi. La première était celle que j’avais vue et ils se voyaient tous les jeudis soirs  - soirée durant laquelle il me disait faire une soirée poker avec son groupe - dans un bar pour ensuite baiser dans une ruelle. Elle savait qu’il était marié et je crois que cela l’excité. Je l’ai même vu lécher son annulaire avec son alliance avant de prendre la main de Tom pour la mettre sous sa jupe afin qu’il la caresse dans le bar, à la vue de tous. J’étais outrée mais je prenais sur moi. Et plus je fouillais et je le suivais, plus ce que j’apprenais était sombre et glauque. Son groupe n’était pas un groupe mais bien un gang qui faisait du trafic d’armes et de drogue. Et Tom en était un des plus hauts gradés. Lorsque j’ai trouvé l’identité de la seconde femme, celle qu’il voyait presque tous les lundis soirs – soirée durant laquelle il me disait qu’il travaillait tard le plus souvent – j’avais envie de vomir. Cette femme était à s’y méprendre d’une ressemblance frappante à la mienne. Le même âge, les mêmes cheveux, la même morphologie. Il l’appelait bébé, comme moi. Et les soirs où je l’ai espionné avec le détective privé, il lui disait les mêmes mots d’amours qu’à moi. Il avait les mêmes gestes, la même manière de la charmer… J’avais le cœur en miettes… 30 ans et ma vie se dérobait sous mes pieds sans que je ne puisse rien faire. J’ai commencé à douter de tout ce que Tom me disait et m’avait dit. Et j’ai alors demandé au détective privé de retrouver la trace de mes parents…

Pendant qu’il était parti en Floride pour enquêter, j’ai continué à jouer la parfaite petite épouse. Je le laisser me posséder mais j’avais repris la pilule en secret pour ne pas avoir un enfant de cette ordure. Je continuais ma vie jusqu’à ce qu’un après-midi, le détective débarque dans la boutique de fleurs pour me parler. Mes parents avaient été assassinés. Mon père d’un coup de couteau et ma mère avait été violée puis égorgée. Ils avaient ensuite été enterrés dans le sous-sol de la maison familiale. Quant à moi j’ai disparu mais les gens pensaient que j’avais fugué puisque j’étais devenue une rebelle. Alors personne ne m’a cherché. Et puis nous n’avions pas de famille donc finalement nos disparitions ont été classées sans suite et ce n’est que lorsque la maison a été rachetée et que les nouveaux propriétaires ont fait des travaux que les corps de mes parents ont été retrouvés. Je me souviens m’être effondrée à l’arrière la boutique. Mon patron n’était pas présent et heureusement parce que personne ne devait savoir. Mais sur les conseils du détective, il n’y avait aucune preuve contre Tom et je n’avais pas de pouvoir face à lui qui était haut placé dans son gang. Ma seule issue était de disparaitre à nouveau. Je l’avais déjà fait, je pouvais le refaire. Avec l’aide du détective – qui je crois m’avait un peu à la bonne – j’ai pu obtenir une nouvelle identité. Et un soir, un jeudi soir, sans un mot, sans rien, j’ai pris mon sac et je suis partie de La Nouvelle Orléans. Tom n’avait jamais été violent avec moi mais savoir qu’il avait commettre des meurtres ou même les orchestrer cela m’a effrayé à un point où j’étais persuadée que s’il retrouvait ma trace un jour, il me tuerait.

Dès lors, Iris Anderson n’existait plus et je suis devenue Mia Barlow.

Dans un premier temps, j’ai fui loin, très loin jusqu’au Canada. Mais les températures n’étaient pas faites pour moi. Malgré tout, j’y suis restée deux années où j’ai pu retrouver un semblant de vie normale. Je me suis même découvert une autre passion, les enfants. A défaut d’en avoir, j’adorais leur compagnie et je suis donc devenue institutrice. Enseigner et pouvoir voir grandir des enfants, même si je sais que ce ne sont pas les miens est encore plus gratifiant. J’ai songé devenir mère pendant un temps mais avec l’épée de Damoclès que j’ai au-dessus de la tête, je ne préfère pas mettre qui que ce soit en danger.

Un soir, alors que je revenais de l’école en trottinette, j’ai aperçu un groupe de bikers devant une boutique de fleurs. J’ai aussitôt fait demi-tour en douce et j’ai fait un long détour pour rentrer chez moi. J’avais eu une peur au ventre. Je n’étais même pas certaine que cela soit eux. Probablement pas, d’ailleurs, puisque les écussons n’étaient pas les mêmes mais dans le doute, j’ai fui. Je repris la direction des USA pour une plus grande ville. Me perdre dans la masse, comme une aiguille dans une botte de foin. Las Vegas fut ma nouvelle destination.

Cela fait maintenant deux ans que je suis planquée dans cette ville. J’ai un travail, un appartement et même un chat. Une vie tranquille qui me permet de souffler de d’oublier un peu mon passé. Même si je tente de ne pas m’attacher, il y a cette petite fille qui est à l’école où je travaille. Sans m’en rendre compte, je me suis attachée et j’ai créé un lien avec elle. Pour autant, si j’ai vu sa mère à plusieurs reprises, je n’ai jamais croisé son père…

Et Vous ?

Pseudo : Sholarimas
Âge : 33 ans
Autre(s) Compte(s) ? : Cirila, William, Connor, Killian et Ilyana
Comment avez-vous connu le forum ? : je suis co-fonda
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